Il y a 12 ans, on montait à la Dôle pour la première fois, en amoureux et sans enfants. On n’y était plus retourné depuis et, profitant du beau temps, j’ai annoncé un matin: « zou, montons à la Dôle! » C’était trop bien. Et la vue à l’arrivée vaut largement l’effort. Car oui, c’est un petit effort quand même pour arriver au sommet! Voici quelques infos si tu veux faire toi aussi cette randonnée en famille.





Il y a plusieurs manières de monter à la Dôle. Nous, on est parti depuis les Dappes, en France voisine. Un grand parking se situe au pied de la montagne, là où, en hiver, se trouvent les départs des pistes de ski. La montée sur ce versant est la plus rapide pour accéder au sommet (compter 1h20) mais les derniers mètres sont assez raides.
C’est super facile de se repérer: il suffit de suivre les panneaux jaunes et/ou le balisage marqué sur les rochers ou au sol (des losanges jaunes). Lorsqu’on arrive au sommet de la Dôle, à 1677 m d’altitude, on découvre une vue magnifique sur les Alpes et le lac Léman. Et le retour alors? Nous, on est redescendu par le même chemin: la descente, sans surprise, est nettement plus rapide que la montée.
On peut aussi monter à la Dôle depuis Saint-Cergue et la Barillette, ce qui te permet d’avoir la vue sur le lac et les montagnes durant toute la montée. Et la pente est, paraît-il, un peu plus douce.
Pour ma mini de 3 ans, la montée était difficile: on avait pris avec nous notre Manduca, qui supporte jusqu’à 20 kg, et qui honnêtement est très agréable à porter. Son seul défaut: il n’a pas de poche! Mais au moins il ne fait pas mal au dos (contrairement à ces porte-bébés de randonnée qu’on trouve finalement peu agréables).



Ah et au retour, tu peux faire un stop au restaurant de Cuvaloup de Crans pour un petite meringue-double-crème bien méritée. Il est possible aussi d’y manger des croûtes au fromage et autres plats de montagne le midi: miam!
Bonne balade!